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FMPA à la ferme

Le thème retenu pour la formation de maintiens des acquis de la manœuvre d’ensemble du 12 juin était une simulation d’incendie à la ferme des Charmottes à BEAUCOURT.

Les objectifs de l’exercice étaient multiples:

  • Reconnaissances diverses
  • Évacuation des animaux
  • Prise en compte des engrais
  • Extinction, alimentation.

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Exercice ORSEC NOVI

Ce jour avait lieu au collège de Danjoutin un exercice inter-services visant à tester l’entente entre les différents services d’assistance et de secours.

Le thème retenu était l’emploi par des terroristes d’un produit toxique à bord d’un bus, puis ces derniers prennent la fuite et se réfugient dans le gymnase annexé au collège. Les 450 collégiens sont confinés dans leurs classes et la police maitrise les terroristes.

Bilan : 7 décédés (5 collégiens et 2 terroristes) ; 7 blessés graves (6 collégiens et 1 sapeur-pompier) ; 8 blessés légers (7 collégiens et 1 policier) ; 5 personnes impliquées (collégiens et adultes)

Le PMA était installé directement à l’intérieur du gymnase pour traiter les victimes sur site.

84 sapeurs-pompiers ont participé à cet exercice dont 11 de BEAUCOURT avec le PMA et le FPT.

Crédit photo: com sdis90

Phénomènes thermiques

Backdraft, flashover, fire gas ignition définissent les progressions rapides du feu et sont, pour la première fois, abordés et détaillés en langue française dans un seul et même recueil.
Pour chaque phénomène thermique, cet ouvrage réunit les connaissances de base du feu, de sa genèse à ses manifestations paroxystiques, en passant par son développement. Des situations vécues, avec parfois la mort tragique des pompiers, illustrent l’analyse de chaque phénomène. Cela sans jugement et sans parti pris, avec objectivité et recul. Ces retours d’expérience ont eu lieu au cours des trente-cinq dernières années écoulées, dans des lieux aussi variés que le milieu industriel, l’habitation ou encore les établissements recevant du public. Des cas concrets, français et étrangers, permettent l’analyse de situations opérationnelles qui ont pu mettre en difficulté les services d’incendie, ce qui enrichit de façon notable les explications des différentes progressions rapides de feu. Lorsque les sapeurs-pompiers ont à résoudre des problèmes opérationnels, ils doivent impérativement mener des recherches bibliographiques pour identifier les travaux conduits par d’autres sur les mêmes sujets et en analyser les résultats. Dans cette logique, ce livre fait partie des ouvrages à posséder.

L’auteur
Pierre Bépoix est officier de sapeurs-pompiers professionnel au grade de commandant, et actuellement chef du Groupement prévention – analyse des risques au service départemental d’incendie et de secours du Territoire de Belfort.

L’intégralité des droits d’auteur sont reversé à l’oeuvre des pupilles des pompiers de France ainsi qu’a l’association des brulés de France.

POUR COMMANDER:

Commandant Pierre BEPOIX, SDIS 90, 0384587800

Via le site « soldat du feu.fr »

Exercice TGV

Un des passagers vient d’être pris d’un malaise. Il faut l’évacuer. Photo Jean Becker

 

Dans la nuit noire, hier soir vers 20 h, un TGV en provenance de Dijon s’immobilise sur le viaduc de la Savoureuse à la suite d’une rupture de caténaire. L’incident s’est produit sur la commune de Bermont. La durée d’immobilisation dépassant plusieurs heures, la SNCF décide d’évacuer la centaine de passagers présents dans la rame. L’opération de secours est lancée. À 21 h arrive le représentant de la SNCF, Christophe Heck (chef incident local). Il se met immédiatement en contact ave le préfet qui dirige les secours sur place. Les pompiers du SDIS du territoire de Belfort sont déjà là, et attendent juste l’ouverture du portail pour pénétrer sur la voie LGV. D’autres pompiers installent des projecteurs, car là il n’y a aucun lampadaires. Le Samu est présent également, car un des passagers vient d’être pris d’un malaise grave, et il faut l’évacuer.

Pompiers et Samu pénètrent dans la rame où se trouve le blessé, alors que le préfet, Benoit Brocart, s’entretient avec les passagers pour les calmer et leur expliquer la situation. « Surtout pas de panique ».

Alors que les secours s’organisent dans le train, de l’autre côté, à la gare TGV de Meroux, la préfecture installe son PC afin de coordonner l’ensemble des services.

D’ailleurs, la SNCF s’enquiert immédiatement d’apporter de faire apporter des vivres aux rescapés du rail. Dans le train, il fait chaud, alors qu’à l’extérieur, la témpérature est de 6degrés. Les pompiers et le Samu ont du mal à évacuer le blessé, surpris par l’exiguité des rames TGV. Puis ils sont bloqués derrière une porte du train qui n’arrive pas à s’ouvrir… Finalement, le contrôleur arrive avec sa clé et on peut extraire de la rame le blessé sur un lorry (wagonnet plat utilisé pour l’entretien des voies ferrées) spécialement construit par une entreprise du Doubs. Le petit wagon, poussé par les pompiers, arrive à l’avant du train. Là, il faut descendre le blessé du ballast…

21 h 45, le blessé est enfin dans l’ambulance est peut être dirigé sur le centre hospitalier de Belfort.

Pour les reste des passagers, pompiers et agents de la SNCF vont évacuer les passagers, puis les transporter par bus depuis le belvédère de Bermont. Ils sont acheminés à la gare TGV de Meroux pour être réconfortés. Pendant ce temps, les services de la préfecture s’affairent à trouver des moyens de remplacement pour les passgers, soit d’autres trains au départ de Belfort, ou des chambres d’hôtels pour qu’ils puissent passer la nuit.

le 18/11/2011 à 05:00 par jean Becker

Le lieutenant-colonel Stephane Heuleu, responsable du SDIS. Photo Jean Becker

Participaient à cet exercice 46 sapeurs-pompiers, dont neuf officiers, dix véhicules d’intervention et dix agents administratifs.

Vingt-cinq gendarmes avec dix-huit véhicules, dont huit motos, étaient également présents.

Du côté de la SNCF, vingt agents étaient dans le TGV victime de l’incident technique fictif.

L’exercice a aussi mobilisé le Samu 90, la préfecture, le service interministériel de défense et de protection civile (SIDPC), les associations de sécurité civile (Croix Rouge, association départementale de Protection civile, les radios amateurs au service de la Sécurité civile), soit vingt-deux personnes, les maires des communes concernées (Bermont, Meroux et Moval), et des figurants dans les rôles des 105 « naufragés du rail ».

Le responsable du SDIS (service d’incendie et de secours du Territoire de Belfort) le lieutenant colonel Stéphane Heuleu affirme : « Notre objectif est de tester la capacité des services de secours et de sécurité à accéder et à intervenir sur la ligne à grande vitesse., et égakement de travailler en bonne coordinatuon avec les services de la SNCF. »

Pour le préfet, Benoit Brocart, présent tout au long de l’exercice pour coordonner les secours affirme pour sa part : « Cet exercice de sécurirté civile grandeur nature, sur le terrain, a pour objectif de tester les procédures d’intervention des différents services amnenés à intervenir en cas d’accident ou d’incident sur cette ligne».

AU PC de commandement étaient également pr ésents Françoise Faure, la maire de Meroux, et Daniel Furtey, conseiller général et maire de Danjoutin.

En observateur, le Dr Jean-Bernard Braun directeur du SAMU de Belfort.

Pour le lieutenant-colonel Stéphane Heuleu : « c’est un bon exercice, mais nous avons été surpris par l’étroitesse des rames TGV. et puis, la SNCF n’avait pas prévu que nous sortions le blessé par une porte donnant sur la voie… Donc nous avons perdu 10 minutes, le temps que le contrôleur arrive avec la bonne clé pour ouvrir la porte. »

Dans l’ensemble, les resonable de l’exercice étaient satisfaits en fin de soirée, surtout que le scénario s’est déroulé de nuit, ce qui ne facilite pas les accès sur la ligne TGV. La préfecture a également mis en place le dispositif de communication de crise « Qualipref », avec la diffusion de communiqué de presse et mise en ligne d’informations sur le site internet de la préfecture dans un délai d’une heure.

Source : Le Pays de Franche-Comté (Photo Jean Becker)

Exercice Franco-Suisse

Exercice des organes de secours entre les jonctions de Boncourt et de Bure
En préparation à l’ouverture du nouveau tronçon de l’autoroute A16 reliant la jonction de Boncourt à celle de Bure le 11 novembre prochain, les organes de secours procéderont à un exercice d’une certaine importance, le jeudi 29 septembre 2011 dès 18h30.

Les intervenants seront confrontés à un accident de la circulation avec plusieurs voitures impliquées. Une dizaine de blessés devront être pris en charge par les secouristes.

Le plus marquant dans cet engagement résidera dans le fait que les secouristes jurassiens seront renforcés par leurs homologues du Territoire de Belfort. En effet, conformément à l´Arrangement particulier signé en 2008 entre le Gouvernement jurassien et le Préfet du Territoire de Belfort, l´objectif premier retenu est de garantir l’efficacité et la rapidité nécessaires aux missions de secours transfrontalières. Aussi et en application de cet arrangement, les intervenants tant jurassiens que français du Territoire de Belfort seront à pied d’œuvre pour porter secours aux blessés. Il faut relever que c’est la première fois qu’un tel exercice, suivi dans le futur par une planification d’intervention, sera réalisé.

Seront donc engagés pour cet exercice et pour les futures interventions les services sanitaires de l’Hôpital du Jura renforcés par les pompiers du Territoire de Belfort (SDIS 90) ainsi que le SAMU 90. Bien évidemment la REGA reste un interlocuteur privilégié dans de telles situations. Du côté des pompiers, le Centre de renfort de Porrentruy avec ses homologues du Territoire de Belfort sont et resteront les entités dévolues à la désincarcération et la lutte contre le feu. La police cantonale jurassienne pourra être renforcée dans certaines missions par le Corps des Gardes-frontière suisse, de la Police militaire basée à Bure ainsi que ses homologues de la gendarmerie nationale stationnés notamment à Delle.

Ce ne sont en effet pas moins de 80 secouristes suisses et français qui seront à l’ouvrage ce jeudi soir. Un équipage complet de la REGA effectuera, en fin d’intervention, une démonstration de ses capacités opérationnelles dans de telles situations.

Les buts principaux fixés seront la collaboration dans l’intervention et la conduite de toutes les forces tant suisses que françaises. Les processus d’alarme seront également mis à l’épreuve.

Un riche parterre de représentants des Autorités cantonales et communales jurassiennes ainsi que leurs homologues du Territoire de Belfort ont été invitées à participer en qualité d’observateurs à cet exercice. Le secteur ne sera en revanche pas accessible au public durant cet exercice

Source : http://www.journaldujura.ch/Nouvelles_en_ligne/R_eegion/106097


Exercice Franco-Suisse sur l’A16 le 29 septembre 2011

EXERCICE FRANCO-SUISSE SUR L’AUTOROUTE A16

Jeudi 29 septembre 2011 à 18h30, devant l’entrée du tunnel du Neu Bois sur le nouveau tronçon Boncourt-Bure, un grave accident vient de se produire

Trois véhicules se sont percutés à l’entrée du tunnel dans le sens France-Suisse, puis un quatrième véhicule circulant dans l’autre sens, sans doute perturbé par le premier accident, s’est renversé et immobilisé sur le flan. Sur les neuf victimes, huit dont un enfant, sont malheureusement prisonnières de leur véhicule et une désincarcération s’avère nécessaire. Un des occupants parvient cependant à s’extraire et à donner l’alarme par la borne SOS au Centre d’Engagement et des Télécommunications de Delémont.

L’alerte est immédiatement transmise aux centres de renfort incendie et secours (CRIS) de Porrentruy et Delémont, aux services sanitaires de l’hôpital du Jura et à la police cantonale jurassienne pour la Suisse ainsi qu’au centre opérationnel départemental d’incendie et de secours (CODIS 90) pour les secours Français.

C’est ainsi que 27 sapeurs-pompiers du SDIS 90 issus des centres de secours de Delle, Montreux-Château, Tourelles, Rougemont-le-Château, Beaucourt, Giromagny ainsi que de l’état-major et du service de santé et de secours médical ont participé à cet exercice. En présence de nombreuses autorités dont Monsieur le Ministre suisse Charles Juillard et un représentant de Monsieur le Préfet du Territoire de Belfort.

Le poste médical avancé du SDIS 90 a été installé pour trier et prendre en charge les blessés légers, médicaliser les victimes les plus gravement atteintes sur place et préparer l’évacuation de ces dernières. Les cas les plus graves ont été transférés vers les centres hospitaliers spécialisés les plus proches par l’hélicoptère de la garde aérienne suisse de sauvetage (REGA). Les actions ont été coordonnées depuis le poste de commandement mobile (PCM) des sapeurs-pompiers français en collaboration avec le chef d’intervention suisse et le chef d’intervention sanitaire.

Le cadre légal dans lequel les secours français (SDIS 90 et SAMU 90) peuvent intervenir sur le territoire suisse résulte d’un arrangement particulier signé le 6 février 2008 entre le Gouvernement de la République et Canton du Jura suisse et le Préfet du Territoire de Belfort.

Cet exercice a permis de tester la coordination des moyens de secours français et suisses, la capacité de mise en œuvre du PMA à titre démonstratif et de démontrer la capacité de travail de l’hélicoptère de la REGA

Article SDIS 90, service COM.
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