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Sainte-Barbe départementale à Giromagny

Sainte Barbe du Corps départementale

Le chef de centre et sapeurs-pompiers de la caserne de Giromagny ont accueilli la cérémonie de la Sainte Barbe du corps départemental le vendredi 14 décembre 2012.

Les JSP4 et nouveaux sapeurs-pompiers volontaires en fin de formation initiale ont reçu l’écusson du corps départemental et ont été présentés par le chef de corps par intérim à Mme la Directrice des Services du Cabinet du Préfet et M. le Président du CASDIS

Mme la Directrice des Services du Cabinet du Préfet et M. le Président du CASDIS assistés par le chef de corps par intérim ont remis des médailles pour service exceptionnel, des médailles d’honneur des sapeurs-pompiers et des médailles régionales, départementales et communales puis les médaillons du SDIS à des agents ayant fait valoir leurs droits à la retraite en 2012

Mme la Directrice des Service du Cabinet a également attribué cette année pour la première fois le Label employeur à M. Jean-Claude MATHEY, maire de Châtenois les Forges, M. QUEIROS, représentant le maire de Delle et à Mme HUGONNET représentant  le directeur de GE Energy de Bourogne

Le chef de corps par intérim a commenté le bilan 2012 (simultanément présentation d’un diaporama de photographies réalisées par M. Didier BELTZUNG)

Puis ont suivi les allocutions de M. le Président du CASDIS et l’intervention de Mme la Directrice des Services du Cabinet du Préfet qui a lu le message du Ministre de l’Intérieur.

Cette manifestation s’est terminée par un vin d’honneur.

Feu de pavillon St Dizier

estrepublicain.fr : le 6/12/12 => MAISON EN FEU À SAINT DIZIER L’EVÊQUE (90)

A 14 h 30, les pompiers du Territoire de Belfort sont intervenus à St Dizier l’Evêque pour un feu de maison ancienne. Le feu est parti du rez-de-chaussée et s’est propagé à l’étage et à la toiture. Les propriétaires étaient absents au moment du sinistre. La maison est inhabitable. Les pompiers étaient toujours sur place à 16 h.

NDLR:

Départ « feu de pavillon », engagés à l’appel FPT-EPSA Beaucourt – VLC Sud puis FPTSR Delle

Au premier message, engagement d’un groupe alimentation, OPD, MPD.

Appels inutiles au 18…

Plus de 10 000 appels inutiles au centre des pompiers

 

Les sapeurs-pompiers du centre de transmission des appels (CTA) du Service départemental d’incendie et de secours du Territoire de Belfort doivent gérer les appels au quotidien afin de venir en aide aux victimes ou protéger les biens.

Chaque jour, en moyenne, ce sont plus d’une cinquantaine d’appels reçus : assistance aux victimes, transports de blessés, malaises, accidents de la circulation, incendies, secours aux animaux, fuites d’eau et inondations…

Au total, 42 000 appels parviennent chaque année au standard par l’intermédiaire du 18, du 112 ou du 15. « Sur ces 42 000, on en retient en fait que 31 000, explique le commandant Olivier Charpy. 13 500 appels sont abandonnés avant même que l’on décroche, 5000 ont été composés à partir du 18, 8500 à partir du 112. Et je ne parle pas ici de faux appels, c’est-à-dire de personnes qui nous appellent et qui nous donnent des faits fantaisistes ou inexistants. La majorité de ces 13 000 appels sont des erreurs, de mauvaises manipulations du portable. » La semaine dernière, alors qu’une personne avait son portable dans sa poche, l’appareil a appelé les pompiers sans l’intervention de son propriétaire, un phénomène qui s’accentue avec l’arrivée sur le marché de téléphones tactiles.

« Cela représente environ une cinquantaine d’appels de ce genre par mois, ce n’est pas anodin, déplore le commandant Charpy. Et à chaque fois, cela mobilise une ligne du standard et occupe un permanent. Restent les appels malveillants. Je viens de porter plainte contre les propriétaires de cinq lignes téléphoniques mobiles qui nous harcèlent. L’un d’entre eux nous a déjà appelés 81 fois depuis le mois de juin. »

Le problème, c’est que souvent, ne sachant si l’information donnée est juste ou fausse, le Centre de transmission des appels de Belfort engage des moyens en hommes et en véhicules qui pourraient être utiles ailleurs au même moment pour sauver des vies.

le 04/12/2012 à 17:50 par  Dominique Lhomme sur lepays.fr

CS Grandvillars ?

Le conseil d’administration du service départemental d’incendie et de secours du Territoire de Belfort s’est penché sur le schéma départemental d’analyse et de couverture des risques. La caserne de Grandvillars, dont il est dressé un portrait peu élogieux, pourrait fermer dès 2013.

D’ordinaire, les décisions du conseil d’administration du service départemental d’un incendie et de secours (Casdis) sont approuvées à l’unanimité, comme ce fut le cas, mercredi soir, sur le vote des orientations budgétaires. Le consensus s’est lézardé sur les études immobilières des centres de secours de Montreux-Château, Rougemont-le-Château et Grandvillars.
Après un volet diagnostic, ce rapport a défini l’importance de leur restructuration.« À l’issue de ce programme en 2019 », s’enthousiasme le président du Casdis Yves Ackermann, « nous aurons achevé la construction ou la rénovation des dix casernes. » Après la construction d’une caserne à Châtenois-les-Forges l’année prochaine, plus chère que prévue avec l’ajout de 288.000 € au budget initial de 1,37 million d’euros, le Casdis aimerait créer avec le Haut-Rhin, un centre de secours interdépartemental à Montreux-Château en 2014.« Mais il nous faudra clarifier la position du Haut-Rhin », déclare Yves Ackermann. « Nous n’avons plus de nouvelles. Il nous faut savoir s’il nous faudra assumer seul la charge financière de cette construction. » Selon Laurent Conrad le maire de Montreux-Château, les retards actuels seraient liés au refus de son collègue de Montreux-Jeune d’assister au déménagement de son centre vers le Territoire.« Le Haut-Rhin n’a pas participé à l’acquisition d’un terrain sur Montreux-Château », rappelle-t-il. « Je crains qu’il en soit de même pour la caserne. » Mais le principal sujet de polémique est venu du classement des prochains investissements immobiliers. Après Châtenois et Montreux-Château, sont inscrits Rougemont-le-Château et Grandvillars.
Le maire de la commune du Sud Territoire Christian Rayot s’est étonné de l’estimation de 727.000 € pour la réhabilitation de sa caserne, en comparaison des projections pour les autres centres de secours qui dépassent le million d’euros.« Envisagez-vous toujours de fermer Grandvillars », s’enquit-il. La question est posée dans le projet de Sdacr III (Schéma départemental d’analyse et de couverture des risques). Son élaboration a débuté en juin 2011. L’objectif est de dépoussiérer le Sdacr de 2005 en tenant compte du bilan de la couverture du département par dix centres de pompiers et de définir l’évolution des risques sur les dix années à venir. Le document d’environ 396 pages évoque dans un paragraphe « les difficultés récurrentes de fonctionnement du centre de secours de Grandvillars », Il note qu’elles ont pour origine « le manque d’effectif, la vétusté des installations, des désordres relationnels internes, un manque de discipline et d’autorité et des problèmes d’encadrement. »« La situation s’est aggravée en 2011 avec des tentions et des dissensions internes », révèle le lieutenant-colonel Heleu.« Le schéma doit examiner les choses de manière objective », souligne Yves Ackermann en complément du directeur des secours. « Nous soumettrons ses priorités à une large concertation avec les élus. » Le nouveau Sdacr sera validé par le Casdis le 13 décembre. On connaîtra alors le sort de Grandvillars. Si la décision était prise, sa fermeture pourrait intervenir en juillet 2013.

Christian Rayot est furieux

Christian Rayot pense que l’histoire se répète. En 1999, la départementalisation envisageait le regroupement des centres de Delle et Grandvillars à Delle. Ce choix sera abandonné en 2005 avec le Sdacr II. «?Mais on a retiré neuf communes aux pompiers de Grandvillars pour créer le centre des Tourelles?», déplore-t-il. «?Cette situation les a démoralisés. Les hommes et les femmes de ce centre souffrent depuis 12 ans. Ils se sentent déconsidérés. Le ressenti s’est aggravé avec la construction d’une caserne à Delle qui est éloignée des zones d’habitation de la commune et de sa zone d’intervention. L’étude du bilan des interventions démontre que vous ne pouvez pas vous passer de Grandvillars. Il intervient sur le Sud Territoire et parfois jusqu’à l’agglomération.?» Christian Rayot a révélé qu’il avait reçu une délégation d’une dizaine de pompiers. Ils lui ont fait part de leur ressentiment. «?Ils sont clairs si vous fermez leur caserne, vous vous retrouverez avec les bips sur votre bureau?», a indiqué à l’adresse du lieutenant-colonel Helleu le premier magistrat. «?Les 250 interventions qu’ils réalisent devront être assurées par Delle ou Les Tourelles. Car les hommes de Grandvillars n’iront jamais dans l’une ou l’autre caserne. J’ai rencontré un officier volontaire qui est prêt à diriger le centre de Grandvillars. La commune peut l’embaucher. Si vous fermez, j’en tirerai toutes les conséquences.?» Christian Rayot a refusé de préciser quelles actions il envisage pour défendre son centre de secours.

Grandvillars Centre de secours : pompiers et élus dénoncent « l’acharnement » du Sdis

Une réunion extraordinaire du conseil municipal s’est déroulée lundi soir, en présence d’une grande partie des pompiers du centre de secours local. Tous ont dénoncé la « volonté délibérée » du Service départemental d’incendie et de secours de parvenir à la fermeture de leur caserne.

Ambiance très lourde dans la salle du conseil municipal lundi soir. Le maire, Christian Rayot, avait convoqué les élus pour une réunion concernant l’avenir du centre de secours. Une quinzaine de sapeurs-pompiers assistaient à cette séance.

Le 24 octobre dernier, dans le cadre du Schéma départemental d’analyses et de couverture des risques (Sdacr), la suppression du centre de secours de Grandvillars a été envisagée. « Qu’ils ne comptent pas sur moi et sur le conseil municipal pour faire preuve de faiblesse dans ce dossier, a lancé d’entrée le maire, Christian Rayot. Dans le Sdacr, notre commune a été flouée. »

Et d’ajouter : « L’effectif de notre centre est passé progressivement de 50 à 20 mais où se situent les responsabilités dans cette baisse ? Et pourtant nos pompiers effectuent 300 sorties par an, souvent au-delà des communes auxquelles ils sont affectés, beaucoup plus que certains centres qui ont des effectifs supérieurs. » Il a ensuite clairement accusé le Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) de ne pas faire ce qu’il devrait pour le centre de Grandvillars.

Des propos confortés par une intervention de l’un des pompiers du centre, porte-parole de ses collègues. Il accuse lui aussi : « Le Sdacr a été monté pour totalement discréditer Grandvillars ! Quand un centre est menacé de fermeture depuis plusieurs années, qu’il ne bénéficie pas du même investissement que les autres centres et que le personnel est mis de côté par le Sdis, alors il y a rupture ! » Une argumentation renforcée par des exemples : l’impossibilité d’obtenir la réparation d’un gyrophare de véhicule et d’un brancard ou les travaux d’amélioration des locaux qui ne se concrétisent pas. Plus troublant encore : dimanche soir, à l’occasion de l’incendie d’un hangar agricole à Méziré, alors que le personnel était disponible et apte à partir, Méziré étant commune de deuxième appel pour le centre de Grandvillars, c’est le centre de Beaucourt qui a été appelé en renfort. Alors qu’ils restaient mobilisés, il a même été fait appel au centre de… Giromagny. Autant d’éléments concordants qui ont amené Christian Rayot à annoncer qu’il demandera au préfet un rapport administratif sur le comportement de la hiérarchie du Sdis à l’encontre du centre de secours de Grandvillars. Il a même solennellement et publiquement demandé la démission du lieutenant-colonel Helleu, directeur départemental du service d’incendie et de secours.

La détermination de tous est impressionnante et de nouveaux développements ne manqueront pas d’intervenir dans les prochains jours. Cette question sera d’ailleurs à l’ordre du jour de la réunion du conseil général, lundi prochain.

le 07/11/2012 à 05:00 par Claude Daucourt

Conseil général : Les élus favorables au maintien du centre de secours de Grandvillars

Les élus se sont prononcés en faveur du maintien de la caserne de Grandvillars hier matin, lors de la réunion du conseil général. L’hypothèse d’une fermeture de ce centre de secours dès 2013 faisait l’objet d’une vive polémique depuis un mois.

 

Sdacr. Derrière cet acronyme un peu rugueux se cache le schéma départemental d’analyse et de couverture des risques, un document dense censé définir les objectifs et les moyens du service départemental d’incendie et de secours (Sdis) pour les années qui viennent.

Hier matin, le lieutenant-colonel Stéphane Helleu, directeur du Sdis, est venu présenter ce schéma aux élus du conseil général, schéma qui doit être approuvé par le préfet avant la fin de l’année.

Au sommaire : un – bon – bilan des précédents Sdacr (le délai d’intervention dans le département est de 9 minutes et 13 secondes, ce qui classe le Sdis au 12 e rang national) et une analyse de ce qui reste « à améliorer ». C’est le cas notamment des effectifs de sapeurs-pompiers volontaires : il faudrait une cinquantaine d’hommes supplémentaires au niveau de l’agglomération belfortaine, souligne Stéphane Helleu.

Le Sdacr est touffu mais c’est, au final, un seul des points évoqués qui a occupé hier l’essentiel des débats : le sort du centre de secours de Grandvillars et de ses hommes, tous volontaires.

Le sujet est l’objet d’une vive polémique depuis un mois, depuis que Christian Rayot, maire de la commune et conseiller général membre de la majorité, a pris connaissance du contenu du schéma. Le document fait état des « difficultés récurrentes » de fonctionnement du centre de secours (nos éditions précédentes) et pose les enjeux : soit faire en sorte de pérenniser la caserne (ce qui suppose des moyens) soit la fermer dès l’année prochaine.

Le président de la CCST propose de reprendre le centre

Hier les élus de tous bords se sont clairement prononcés en faveur de la première option. Principal argument avancé : fermer ce centre de secours reviendrait à se priver d’une bonne partie de ses sapeurs-pompiers volontaires qui n’iront jamais proposer leurs services à Delle ou à Bourogne.

Que faire, alors ? Le statu quo n’est pas possible, résume Christian Rayot, les « locaux sont dans un état déplorable. Il faut dès 2013 une action forte en matière d’investissement ».

Et l’élu, également président de la communauté de communes du Sud Territoire, de faire une proposition : la commune de Grandvillars peut céder les locaux de la caserne à la CCST pour l’euro symbolique. La CCST financerait les travaux « nécessaires à la remise sur pied du centre » à condition que le Sdis reprenne ensuite le bâtiment et rembourse le montant des travaux.

Yves Ackermann, le président PS du conseil général (et du Sdis), n’est visiblement pas hostile à cette idée : cette solution, dit-il, permettrait sans doute de réaliser les travaux plus vite (montant de la réhabilitation estimée par le sdis : 700 000 euros).

L’élu, cependant, n’oublie pas de préciser qu’aujourd’hui le centre de secours n’est pas en ordre de marche : « Il doit s’ouvrir, participer aux formations. Il faut que les sapeurs-pompiers volontaires comprennent qu’ils ne peuvent pas fonctionner comme il y a vingt ans ». Si la caserne est maintenue, dit-il, il faudra qu’un sapeur-pompier professionnel vienne encadrer le centre de secours.

Les élus UMP, eux, s’ils sont pour le maintien du centre, sont très circonspects au sujet de la solution proposée par Christian Rayot. Ils sont aussi très critiques en ce qui concerne les choix politiques qui, selon eux, ont engendré cette situation.

Cédric Perrin, maire UMP de Beaucourt, évoque en outre un autre élément du Sdacr qui lui pose problème : le rattachement de Fêche-l’Église au centre de secours de Delle (la commune dépend actuellement de Beaucourt). Selon les données du schéma départemental d’analyse et de couverture des risques, cette modification permettrait de réduire le délai d’intervention de plus d’une minute.

Source : Le Pays.fr le 27/11/2012 à 05:00 par Céline Mazeau

Expo photo Pompiers à la Mairie

Du 29 octobre au 22 novembre, une exposition photo de Gérard LAMARRE, relative à ses 35 ans de carrière chez les sapeurs-pompiers, est visible dans le hall d’accueil de la Mairie de BEAUCOURT

L’exposition est visible aux horaires d’ouverture de la Mairie,

du lundi au vendredi de 8h à 12h et de 14h à 17h30, le samedi de 10h à 12h.

Feu de pavillon Grandvillars

18/9/12: Un très violent incendie a détruit mardi en début d’après-midi un pavillon au 24, de la rue de la Batterie à Grandvillars.

Au moment où les sapeurs-pompiers du centre de secours de Grandvillars sont arrivés sur place, la maison s’était déjà complètement embrasée. Ils ont très vite reçu des renforts en matériel et en hommes venant des centres de secours de Delle, Beaucourt, Belfort et des Tourelles à Morvillars. Une trentaine d’hommes et quatre véhicules étaient sur place pour lutter contre cet incendie d’une rare violence.

Les opérations ont été placées sous le commandement du lieutenant Philippe Mercy du centre de secours de Delle. « Trois lances à débit variable sont en action, a précisé le lieutenant, un matériel adapté à la lutte contre un incendie dans un bâtiment de plain-pied. Le sinistre n’a heureusement pas fait de victime et nous ignorons les causes de cet incendie. »

Les occupants de la maison, Monsieur et Madame Courtot ne se trouvaient en effet pas dans la maison au moment où l’incendie s’est déclaré. Madame Courtot évoquait de son côté une casserole qu’elle aurait laissée sur le feu pendant qu’elle se rendait dans son jardin, à l’arrière de la maison et qui pourrait être à l’origine du sinistre.

Vers 15 heures, l’incendie était maîtrisé mais il ne restait que peu de choses du petit pavillon. Les propriétaires n’ont rien pu sauver de leurs biens et une chaîne de solidarité s’est spontanément mise en place pour venir en aide au couple sinistré. Gilbert Reber, adjoint au maire, a précisé qu’il s’occupait sans délai, avec les services de la mairie, du couple sinistré. Jean-Claude Galliat, un voisin annonçait qu’il lançait un appel aux dons en espèces ou en vêtements, toutes les personnes souhaitant manifester leur générosité peuvent le contacter au 03.84.27.77.86.

le 18/09/2012 à 16:27 par Claude Daucourt- Le pays de Franche-comté

Feu de pavillon

Un très violent incendie a détruit mardi en début d’après-midi un pavillon au 24, de la rue de la Batterie à Grandvillars.

Au moment où les sapeurs-pompiers du centre de secours de Grandvillars sont arrivés sur place, la maison s’était déjà complètement embrasée. Ils ont très vite reçu des renforts en matériel et en hommes venant des centres de secours de Delle, Beaucourt, Belfort et des Tourelles à Morvillars. Une trentaine d’hommes et quatre véhicules étaient sur place pour lutter contre cet incendie d’une rare violence.

Les opérations ont été placées sous le commandement du lieutenant Philippe Mercy du centre de secours de Delle. « Trois lances à débit variable sont en action, a précisé le lieutenant, un matériel adapté à la lutte contre un incendie dans un bâtiment de plain-pied. Le sinistre n’a heureusement pas fait de victime et nous ignorons les causes de cet incendie. »

Les occupants de la maison, Monsieur et Madame Courtot ne se trouvaient en effet pas dans la maison au moment où l’incendie s’est déclaré. Madame Courtot évoquait de son côté une casserole qu’elle aurait laissée sur le feu pendant qu’elle se rendait dans son jardin, à l’arrière de la maison et qui pourrait être à l’origine du sinistre.

Vers 15 heures, l’incendie était maîtrisé mais il ne restait que peu de choses du petit pavillon. Les propriétaires n’ont rien pu sauver de leurs biens et une chaîne de solidarité s’est spontanément mise en place pour venir en aide au couple sinistré. Gilbert Reber, adjoint au maire, a précisé qu’il s’occupait sans délai, avec les services de la mairie, du couple sinistré. Jean-Claude Galliat, un voisin annonçait qu’il lançait un appel aux dons en espèces ou en vêtements, toutes les personnes souhaitant manifester leur générosité peuvent le contacter au 03.84.27.77.86.

le 18/09/2012 à 16:27 par Claude Daucourt- Le pays de Franche-comté

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