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Affaissement salle Jeanne d’Arc

FAITS DIVERS – A BEAUCOURT, LORS D’UNE FÊTE DE MARIAGE, LE SOL DE LA SALLE JEANNE D’ARC S’EST PARTIELLEMENT EFFONDRÉBEAUCOURT : LE SOL DE LA SALLE JEANNE D’ARC S’EFFONDRE PENDANT UN MARIAGE (Est républicain 14/12/14)

Les participants à la fête s’en sont tirés avec une belle frayeur, samedi soir.

Les faits se sont déroulés lors d’une fête de mariage à la salle Jeanne-d’Arc, rue du Château-d’eau, propriété de la paroisse de Beaucourt.

La fête privée était bien engagée lorsqu’en fin de soirée, une partie du sol de la salle s’est effondrée.

Les sapeurs pompiers sont aussitôt intervenus et les participants évacués. Certains ont été transférés à l’hôpital. Mais sans blessures physiques. Simplement pour effectuer des examens de contrôle. Il s’agissait plus de bouleversements psychologiques.

« Nous n’avons jamais rencontré de problèmes avec cette salle », témoignait hier, le sénateur-maire, Cédric Perrin, qui, lui aussi s’est rendu sur les lieux pour constater les dégâts.

« D’autant plus que les locaux avaient été rénovés, il y a trois ans », précise l’élu. « Bien entendu, les sols et le carrelage aussi ». Qui n’ont pas fait un pli sous le poids des convives, ce qui pourrait laisser penser à une malfaçon.

Evidemment, la salle a été fermée jusqu’à nouvel ordre. En attendant que les experts fournissent leurs conclusions. Et que de nouveaux travaux de réfection soient programmés.

 

NB : Moyens engagés : VSAV – FPT – VLC Beaucourt – VSAV 1 et 2 Delle – Lance 90 – Gendarmerie

Chute de cheval

Samedi 13 décembre à 15h53, le CODIS 90 déclenche le VSAV Beaucourt pour chute de cheval sur la commune de Saint-Dizier-L’évêque. Le VSAV se présente à 16h01 et demande renfort du SMUR pour une femme ayant un traumatisme crânien.

Le SMUR de Belfort et l’OG sud complète le dispositif. Une DZ est organisée sur la RD 57 pour permettre la posée de DRAGON 25 et le transport de la victime sur le CHU de Besançon.

 

Moyens engagés : VSAV & VLC BEAUCOURT – SMUR Belfort – DRAGON 25 – Gendarmerie

La château Robert en feu

Vendredi 22 novembre, à 22h59, le CODIS 90  engage FPT-EPS-VSAV Beaucourt, FPTSR Delle, VLC Sud pour feu de pavillon à Beaucourt.

A l’arrivée du FPT quelques minutes plus tard, les secours constatent que l’incendie concerne le château Robert Japy, Parc des cèdres. Le feu ravage le rez-de-chaussé (environ 400m²) et la façade coté Impasse des Frênes. 4 LDv sont établies sur les FPT.

L’officier de garde demande renfort de la CECOS pour les ARI. L’OPD se déplacera sans prendre le COS.

De nombreuses relèves auront lieu jusqu’au le,demain soir 21H.  Certains n’ont pas vu le début de la soirée de Sainte-Barbe !

Le FPT retournera éteindre une poutre le lendemain.


 

Est républicain du 23 novembre 2014.

«C’est triste », lâchait au cœur de la nuit Cédric Perrin, sénateur-maire de Beaucourt alors qu’il assistait à ce qui ressemblait au chant du cygne du château Robert-Japy, situé à l’entrée du parc des Cèdres depuis la rue Pierre-Sellier. « Même s’il n’a pas de valeur particulière, il appartient au patrimoine de Beaucourt ».

 

Comme nous le notions dans la nuit de vendredi à samedi sur le site www.estrepublicain.fr, l’alerte a été donnée vendredi soir à 23 h. Quand les sapeurs-pompiers sont arrivés, « le feu concernait déjà plusieurs niveaux », précisait le capitaine Oser, l’officier de garde du secteur. Vingt-cinq hommes (14 de Beaucourt, sept de Delle et quatre de Belfort) ont été dépêchés. Quatre lances, dont une sur échelles, ont été déployées.

Vers 1 h du matin, les pompiers avaient réussi à stopper le sinistre dans les premiers niveaux mais le feu couvait encore dans les combles d’où s’échappait une épaisse fumée. « Les hommes ont progressé normalement dans les niveaux », soulignait le capitaine Oser. Car l’imposante demeure était vide et ce sont principalement les parquets, plafonds et autres moulures en bois qui ont brûlé.

D’après les premiers éléments, le feu aurait pris au premier étage dans la partie arrière du château et se serait propagé aux combles.

« Nous attendions des jours meilleurs »

Propriété de la Ville de Beaucourt depuis 2007 et le rachat d’un « package » comprenant aussi l’usine et la fonderie, le château Robert était depuis vide, sans eau ni électricité. « Il y a eu quelques projets, quelques pistes mais qui n’ont pas abouti », rappelait Cédric Perrin. « Nous voulions que se construise un projet autour de l’hôtellerie, que ce lieu reste ouvert au public alors que pas mal de projets présentés concernaient du locatif ». Et le maire de noter que pour une ville comme Beaucourt, posséder un tel patrimoine n’était pas chose facile. « C’est très compliqué avec les moyens financiers dont nous disposons. Nous attendions des jours meilleurs pour envisager quelque chose ».

Des riverains, hier matin, faisaient remarquer que le château était régulièrement squatté, de jour comme de nuit. Chose que confirme le maire : « Nous essayions régulièrement de le fermer mais constamment il était à nouveau squatté. Des riverains m’ont d’ailleurs signalé qu’ils avaient entendu du bruit dans le château vendredi soir ». Une situation qui fait osciller le maire entre « tristesse et colère ». Car hier matin, force était de constater qu’il ne restait que les quatre murs. « C’est mort », concluait dépité Cédric Perrin.

Un autre château Japy, le château Jules, avait connu pareille infortune, un incendie l’ayant détruit en 1975.

 

Laurent ARNOLD et Pascal CHEVILLOT Toutes nos photos sur le site www.estrepublicain.fr

AVP…

Jeudi 21 novembre, 13H, le CTA-CODIS reçoit un appel pour un véhicule ayant dévalé une pente (rue du clocher à Beaucourt) et se retrouvant en équilibre instable quelques dizaines de mètres plus loin. Le VSAV et le FPT du CIS de BEAUCOURT se rendent sur place et constatent qu’aucune victime ne se trouve à l’intérieur.

Un périmètre de sécurité est mis en place ainsi qu’une protection incendie. L’opération de relevage a été effectuée par un dépanneur spécialisé. La Gendarmerie et la Police Inter-Communal ont régulés la circulation.

Feu de ferme à Florimont

FLORIMONT (90): LE FOIN PART EN FUMÉE, LA FERME AUSSI
(source: estrepublicain.fr)
Une ferme à colombages a été totalement détruite par un incendie ce mardi matin à Florimont, dans le sud du Territoire de Belfort: elle contenait des balles de foin et des cuves à fuel. Une trentaine de sapeurs-pompiers a dû intervenir.

800 m² de bâtiment de stockage sont partis en fumée ce mardi matin après qu’un incendie a pris peu avant 8 h dans une ferme située sur la commune de Florimont, dans le Territoire de Belfort, mais à l’écart du village, sur la route de Suarce. Des bruits d’explosion auraient été entendus: la ferme contenait, outre des balles de foin, des cuves à fuel.

Le bâtiment à colombages, de type sundgauvien, à structure bois, s’est enflammé très vite, nécessitant l’intervention d’une trentaine de sapeurs-pompiers des centres de secours de Delle et Belfort. Un périmètre de sécurité a rapidement été mis en place, l’habitation des propriétaires du hangar n’étant éloignée que d’une dizaine de mètres du bâtiment en feu.

A 11 h, l’incendie avait pu être circonscrit, le bâtiment s’étant totalement écroulé. Sur place, le technicien d’investigation criminelle de la gendarmerie a réalisé les premiers relevés. La ferme n’abritait pas d’animaux.

Karine FRELIN

Dramatique accident de la route

Est- républicain. http://estrepublicain.fr du 07 septembre 2014

Hier après-midi, une collision entre une voiture et une moto a fait un mort et un blessé grave à Fêche-l’Eglise, dans le Territoire de Belfort.

Belfort. Les routes du Territoire de Belfort ont été endeuillées par la mort d’un motard de 23 ans, hier après-midi, à Fêche-l’Eglise, une commune coincée entre Delle et Beaucourt, près de la frontière helvétique.

Selon les témoignages recueillis sur place, une moto arrivait de Delle sur le CD 465 et roulait en direction du Pays de Montbéliard. Il semblerait que la voiture roulait dans l’autre sens et devait emprunter la RD 36 en direction de Grandvillars. Pour le reste, les circonstances n’étaient pas définies avec précision, hier soir. Malgré tout, les gendarmes de la communauté de brigades de Delle tentaient de les déterminer mais paraissaient privilégier un non-respect de priorité ou une faute d’inattention.

Les témoignages que nous avons recueillis, laissaient entendre que le véhicule aurait bifurqué pour emprunter la RD 36. Les gendarmes cherchaient à savoir si le véhicule avait marqué la priorité en laissant passer la moto ou si elle lui avait coupé la route. En tous les cas, la moto a heurté la voiture au niveau de l’aile avant gauche Les gendarmes attendaient d’entendre un automobiliste qui suivait le véhicule accidenté, pour établir les responsabilités.

A l’arrivée des pompiers commandés par le lieutenant Richard Pelletey et des médecins du Samu, la moto, après avoir traversée la route, était couchée dans le talus, sur le bord droit du CD 465. Ses deux passagers, deux hommes âgés de 23 et 21 ans et résidant à Courcelles-lès-Montbéliard et Valentigney, ont été éjectés. Polytraumatisé, le plus âgé, qui pourrait être le pilote est décédé. Les secours n’ont pu le ranimer.

Héliporté vers Besançon
Le plus jeune était dans un état grave. Placé dans un matelas coquille par le Samu, il a été récupéré sur un espace annexe au terrain du stade de football de Fêche-l’Eglise par l’hélicoptère Dragon 25. Vers 19 h 40, celui-ci a décollé et a pris la direction de Besançon. Les médecins demeuraient prudents sur le pronostic vital de cette seconde victime, polytraumatisée elle aussi.

La conductrice, qui est impliquée dans la collision, était très choquée. Elle a été prise en charge par les pompiers du Sud Territoire et conduit vers le centre hospitalier.

Pendant les constatations et les opérations de secours, les motards de l’escadron départemental de sécurité routière ont organisé la circulation au niveau d’une intersection très empruntée et qui a, de surcroît, mauvaise réputation. Les militaires ont choisi de couper la route et de dévier la circulation sur Saint-Dizier pour les voitures venant de Beaucourt et sur Grandvillars pour les voitures venant de Delle.

Pascal CHEVILLOT

 

Incendie à Réchesy

La colonne de fumée rougeoyante se voyait à des kilomètres à la ronde samedi soir autour de Réchésy (90).

La colonne de fumée rougeoyante se voyait à des kilomètres à la ronde samedi soir autour de Réchésy (90). Il est environ 22 h 30 lorsqu’une trentaine de pompiers du Territoire commandés par le lieutenant-colonel Christian Jeandemange ont convergé sur l’incendie à Pizzathèque, un établissement spécialisé dans les pizzas et les tartes flambées à emporter, situé route de Pfetterhouse. « Les flammes avaient percé la toiture », résume l’officier de garde départementale. « Le bâtiment de deux étages était la proie d’un embrasement généralisé. » A l’intérieur, les planchers et les escaliers se sont déjà effondrés et les murs sont à nu après la disparition des revêtements. Consigne est donc donnée aux hommes de ne pas pénétrer dans le bâtiment et de ne pas s’en approcher. Les soldats du feu craignent que des pans de murs fragilisés ne s’effondrent.
Autre élément important : il n’y a pas de bornes à incendie. Ce détail avait d’ailleurs conduit la commission de sécurité à émettre un avis défavorable à l’ouverture d’une pizzéria recevant du public. Il a donc poussé le propriétaire à créer une activité de vente à emporter mais celle-ci connaîtrait des difficultés et devait être mise en vente.
En attendant, les pompiers doivent se ravitailler dans le centre de Réchésy au moyen de camions citernes. Leurs allers et venues se sont poursuivis toute la nuit. Mais il est trop tard pour sauver le bâtiment principal. La direction des secours a donc demandé aux hommes de laisser brûler et de ne protéger que le laboratoire de fabrication des pizzas. Peu à peu, l’intensité du feu a baissé ce qui a permis d’inonder les flammes. Vers 2 h 30, les grosses lueurs de couleur orange ont disparu. Ils ne restent que des flammèches. Reste une question troublante voire inquiétante : où sont donc passés le gérant de Pizzathèque et sa famille ? Une affichette à l’entrée de la propriété laisse entendre qu’ils sont en vacances. Seulement les secours s’étonnent de la présence du chien totalement affolé, d’une voiture dont les portes ne sont pas fermées à clé et d’un cyclomoteur. Ils sont tous les deux garés à proximité de la maison. Une porte d’entrée est fermée de l’intérieur, comme en témoigne une clé laissée dans la serrure. Ce détail a conduit la première d’équipe d’attaque du feu à pénétrer dans le brasier, à la recherche de victime. L’un des hommes, un caporal du centre de secours de Delle, s’est brûlé à la main. Il a été conduit par ses collègues au centre hospitalier de Belfort. « Il pensait trouver quelqu’un à l’intérieur », justifie le lieutenant-colonel Jeandemange…

 

Pascal CHEVILLOT

AVP PL seul

Ce matin, un camion de la société VEOLIA environnement, déséquilibré par son chargement, s’est renversé sur son flanc droit, à l’angle de la Rue de Dampierre et de la Rue Péchin à BEAUCOURT.

Le chauffeur du camion, choqué et légèrement blessé est pris en charge par le VSAV de BEAUCOURT. Le Lieutenant Denis GALLI, officier de garde du secteur Sud Territoire ordonne au  FPSTR de Delle de couper la batterie du véhicule, de baliser les lieux et de vérifier l’absence d’autres impliqués.

Heureusement, aucune autre victime n’est découverte sous le camion. L’intervention monte en puissance avec la demande de renfort par l’officier de garde, d’un véhicule risque technologique, d’un conseiller technique RCH, d’une entreprise de dépannage PL (Garage GESTER de DUNG). Le réservoir de 400 litres de gaz-oil,  devait fort heureusement, résister aux opérations de relevage.

Les opérations de relevages se déroulent sans problèmes et la circulation est rétablie vers 13H.

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